En réaction aux dommages causés par l’Agrile du frêne (Emerald Ash Borer), nous avons inauguré le projet Arbre Ottawa afin de sensibiliser les habitants à la nécessité d’une végétation urbaine saine, et de promouvoir les actions permettant de contrer les menaces auxquelles cette végétation fait face. La réaction du public à cette initiative a dépassé toutes nos espérances et, ensemble, nous avons remporté de nombreux succès. Parmi ces succès, on peut noter, entre autres, les 11 000 signatures en soutien à notre pétition demandant à la Ville d’Ottawa de développer un Plan de gestion de la forêt urbaine, les 9 comités et 7 écoles engagés dans des projets de plantation d’arbres, la distribution de plus de 30 000 jeunes arbres à travers Ottawa pour atteindre l’objectif du Million d’Arbres.
Un million d'arbres plantés - et plus encore
Contrer l’Oléoduc Énergie Est
Écologie Ottawa a mobilisé près de 10 000 habitants d’Ottawa, montrant ainsi l’opposition du public au projet d'Oléoduc Énergie Est. Nous avons récolté 8 800 signatures sur une pétition s’opposant à l'oléoduc, distribué 200 000 autocollants et pancartes sur les pelouses d'Ottawa et d'ailleurs, créé des partenariats avec des organisations régionales et nationales, organisé des projections de films ainsi que des panels et des manifestations et nous sommes intervenus dans le processus de révision du projet, à travers le Conseil national de l’Énergie. Le 5 octobre 2017, TransCanada a annoncé l’abandon du projet.
La campagne des Rues conviviales
Écologie Ottawa a demandé à la ville d’Ottawa d’adopter la politique de la Rue conviviale, en mobilisant les citoyens de la capitale. La ville a adopté cette politique en 2013 et a produit un plan d’exécution en 2015. Ces mesures sont le signe d'un changement potentiel de la forme urbaine d'Ottawa et pourraient avoir une incidence positive sur le réseau de transport de notre ville pour les générations à venir. Désormais, les urbanistes et les ingénieurs de la ville considéreront les rues comme étant plus que des voies de passage pour les voitures. Ils adopteront plutôt systématiquement une optique de rues conviviales, en examinant les interactions complexes entre les divers modes de déplacement et en cherchant des moyens de donner la priorité à l'expérience des piétons, des cyclistes et des usagers du transport en commun.